Le monde est beau [Alexis]

J'avais but, je savais que c'était une mauvaise idée mais j'en avais besoin ce soir, trop de choses s’enchaînaient dans ma vie, rien n'allais plus. J'avais rater mon année, lamentablement, Jules enchaînais les maladies, le fric manquais plus que jamais et il était de retour, enfin il n'était jamais vraiment partit mais je l'avais revu, tant que je ne le voyais pas je pouvais me dire qu'il n'existais pas. Maintenant je ne pouvais plus, il était de nouveau dans mon champ de vision. C'était ça le pire, j'avais tout fait pour l'oublier, effacer scrupuleusement chaque souvenir de lui, détruire tout ce que je pouvais avoir chez moi qu'il avait touché, qu'il m'avait offert ou simplement qui me rappelais qu'il existait qu'il avait dit m'aimer, que je lui avait tout donner, mon amour, ma confiance, ma vie au final, car je n'en avais plus trop avec les filles . Et il revenais comme ça et j'avais beau eu prétendre le détester, je savais que je me mentais à moi même, je n'y arrivais pas, quand je ne le voyais pas je rêvais de l'encastrer dans un mur mais quand il était face à moi je ne rêvais que de ses lèvres. J'avais besoin de me changer les idées alors j'avais cédé et était sortie avec des amis que je ne voyais presque plus, on s'était perdue de vue dans cette fête immense, j'avais accepté des verres d'inconnu, un peu flirter, embrasser un mec après avoir dansé avec lui puis quand il m'avais proposé de rendre la soirée plus sympa je lui avais faussé compagnie. J'avais retrouvé les filles qui elles aussi avaient un truc pour rendre la fête plus folle, je n'avais pas trop hésité pour en prendre un peu, je me droguais peu mais bon là j'en avais besoin. Il était un peu moins d'une heure du matin maintenant, je venais de quitter la fête et je me rendais compte qu'elle n'étais pas très loin de chez lui. J'avais besoin de lui parler alors trop ivre et euphorique je ne réfléchissais pas plus et me précipitais vers son immeuble, par miracle la porte du bas était ouverte, je montais à son étage et tambourinais à sa porte. Quand il ouvrit enfin, mon premier réflexe fût de lui coller une gifle « T'es qu'un gros con ! » et mon deuxième fut de le plaquer au mur pour l'embrasser passionnément « Mais je t'aime » Je m'écartais un peu de lui ne sachant pas trop comment il allait réagir, je venais de le reveiller, d'ailleurs je ne me privais pas d'admirer son tores nu.

Ce soir je me sentais vraiment fatigué, même si la maladie était plus ou moins finit je devait finir mon traitement pour mettre plus de chance de mon coté pour ne pas avoir de récidive, et ce traitement me fatiguait vraiment. J’avais donc refusé de sortir avec des amis à une fête non loin de chez moi. Etais ce vraiment la seule raison ? Pour être franc je ne savais pas trop. Depuis que j’avais approché Phoebe a nouveau j’avais de plus en plus de mal a ne pas penser au trois femmes de ma vie, oui elles représentaient cela pour moi, même si Phoebe me détestait. J’avais passé la soirée a zappé car il n’y avait rien a cette foutu télévision puis pris par la fatigue je m’étais couché. Je pensais ouvrir les yeux à nouveau qu’une fois que le soleil serait bien haut dans le ciel. Seulement un boucan d’enfer me sorti de mon sommeil. On tambourinait a ma porte, je me demandais bien qui cela pouvait bien être. Je me sortis difficilement de mon lit et ouvrit la porte un peu endormi. Elle était devant moi à une heure du matin ? Je rêvais ou quoi ? Elle ne semblait pas dans son état normal et je ne vis pas venir une baffe magistrale. Aoutch j’avais oublié qu’elle avait tant de force, je me tenais la joue deux seconde avant qu’elle ne me plaque contre le mur et que j’entende ses mots que je n’avais pas entendu depuis si longtemps. Je savourais et prolongeait le baiser, sentant très bien qu’elle avait bu. Je posais mon regard sur elle, putain qu’est ce qu’elle était belle, qu’est ce que je l’aimais cette fille. Comment pourrais-je réagir ? Elle aurait été sobre j’aurais été très heureux mais ce n’étais pas le cas, je lui pris donc le bras et la fis entrer dans mon petit appartement où trainait sur la table plusieurs chose que je n’avais pas pensé à ranger comme ordonnance et traitement. Je finis par prendre la parole. « Qu’est ce que tu as pris à part l’alcool Phoebe ? » j avait peur pour elle car je voyait dans son attitude qu’elle n’avait pas simplement bu de l’alcool. Je m’approcha et lui caressa la joue et finit par lâcher. » Je t’aime toujours Phoebe mais je vois tres bien que tu n’es pas dans ton état normal et c’est pour cela que je ne profiterais pas de ce baiser même si j’aime toujours autant le gout de tes lèvres. «

Je ne sais pas ce qui me prenais, renter comme ça chez lui après tout mes efforts pour le rejeter, lui faire croire que je ne ressentais plus rien. Un peu d'alcool et toute ma bonne volonté s’effondrait. Mais il y avait eu ce baiser, à l’hôpital. J'avais eu beau lui affirmer l'inverse, ça ne m'avais pas laissé indifférente, nan je n'avais eu qu'une envie, l’entraîner dans un coin tranquille et l'embrasser encore et encore et même plus. Oui ce soir j'avais envie de plus mais ça c'était surtout l'alcool qui aidais et la drogue, qu'elle idée stupide j'avais eu, prendre cette saloperie, pourquoi les filles m'avaient donc laissé faire ça ? Je regarde la joue rouge d'Alexis, une fois de plus je ne l'ai pas loupé, mais ce qui est bien c'est qu'il ne réplique pas, je m'en suis tellement prise petite que je m'en passe volontiers maintenant. Mais quand je l'embrasse, il prolonge et j'en suis heureuse, mes mains se frayent un passage sous son haut, caressant son torse tout doucement, j'ai envie de lui. Il me fait entrer, de toute évidence il a envie autant que moi. Je me laisse faire quand il me pousse vers le canapé et je m'assoit alors qu'il me demande ce que j'ai prit, hormis l'alcool. Je secoue la tête « Juste de la vodka, peut être un peu trop de vodka » Je souris quand il caressa ma joue et je fermais quelques seconde les yeux, profitant de ce moment, quand je serais de nouveau sobre demain matin je serais obligé de reprendre mon rôle, le détester encore, je suis obligée, pour protéger mes filles. Il me dit alors qu'il ne veux pas profiter de mon état. Je soupirais « Alexis, j'ai envie de toi, s'il te plaît » Je grimpe sur lui et l'embrasse avec passion et commence a lui retirer son t-shirt, je caresse son torse tout doucement. Je murmurais doucement à son oreille « Je sais que tu as envie de moi aussi, profite » Je sourit doucement et descend la fermeture de ma robe qui tombe et laisse découvrir mon soutient-gorge. Je l'embrasse encore et murmure « Je t'aime, mais je ne peux pas alors profite » Je continue de l'embrasser et détache son pantalon.

Je ne savais pas trop comment je devais réagir face à Phoebe qui se jetait dans mes bras. N’allez pas croire que cela me déplaisais ca c’était Phoebe et que je l’aimais réellement et que je donnerais n’importe quoi pour pouvoir repartir dans une relation avec elle, mais pas comme cela. Je savais très bien qu’elle reviendrait vite à la raison en ayant décuvé. D’ailleurs je connaissais quand même assez bien et je savais qu’elle tenait bien l’alcool d’ailleurs c’est pour cela que j’avais posé la question des médocs. Et aussi parce que je m’inquiétais pour elle, je ne voulais pas qu’elle fasse cela. Je savais que quand on commençait dans ce genre de drogue on pouvait facilement y être accro et ce n’est vraiment pas ce que je voulais pour la mère de mes filles. Elle était géniale cette fille et moi pauvre cretin je m’étais barré en lui laissant nos deux filles sur les bras. Je m’en voulais vraiment mais je n’avais pas eu d’autre choix, je ne voulais pas être un poids de plus pour elle. Une fois qu’elle fut rentrée chez moi je me dis que j’arriverais plus facilement à ce qu’elle ne fasse pas de connerie. Elle me dit n’avoir pris que de la vodka, je soupire et finis par dire. Tu es vraiment sure Phoebe ? Oui je doutais un peu, car je connaissais très bien les soirées qui se déroulaient dans le coin. Je finis sur le canapé avec Pho sur moi qui m’embrasse et me caresse. Je ne peux m’empêcher de frissonner en sentant ses mains sur moi, ca m’avait tellement manqué. Je l’entends me dire qu’elle a envie de moi et je ne peux que lui donner raison quand elle enlève sa robe. Je savoure ses baisers et prolonge avec passion quelque instant caressant sa peau douce et sucrée. Puis je me reprends, je ne peux pas faire cela. Je stoppe le baiser et remet une de ses mèches de cheveux derrière son oreille et finit par dire. Phoebe, je ne dis pas que je n’ai pas envie de toi, mais tu n’es pas dans ton état normal et demain tu me détesteras deux fois plus d’avoir profiter de toi car c’est l’impression que j’ai là, d’être en train de profiter de toi. Je t’aime phoebe, plus que tout et c’est pour cela que je ne vais pas coucher avec toi ce soir, désolé. Je me lève pour arriver plus facilement a me contrôler face a elle.

Je me sentais bien avec lui, j'avais envie de lui, plus que tout et avec l'alcool et la drogue dans mon sang, je n'arrivais pas à me contrôler. Je grimpais sur lui tout sourire et l'embrassais passionnément. Le goût de ses lèvres m'avait terriblement manqué. Je ne pouvais pas m’empêcher de déboutonner sa chemise et glisser mes mains sur son torse tout chaud. J'avais envie de lui, depuis que je l'avais revu en fait. Il n'y avait jamais eu personne pour le remplacer, évidemment j'avais couché avec un tas d'autre personne depuis lui, ne serais ce que pour essayer de l'oublier mais jamais personne ne m'avais fait autant d'effet que lui, personne n'avais pût le remplacer et maintenant que j'étais aussi proche de lui je m'en rendais compte. Je l'aimais oh oui putain ce que je l'aimais et j'étais prête à tout pardonner s'il ne me laissait plus jamais seule mais jamais je ne pourrais lui dire car j'étais bien trop fière pour ça et puis car j'avais trop peur, qu'il ne me laisse encore. Alors je voulais profiter juste ce soir, une dernière fois et puis continuer de le détester pour cet abandon. Alors qu'il insistait je finis par avouer « Bon une amie m'a filé un peu de drogue… mais rien de bien méchant » Je n'en étais pas fière mais ce n'était pas non plus une habitude, jamais je ne tomberais dans ça, je ne pouvais pas me le permettre de toute façon, j'avais mes filles et elles n'avaient que moi, s'il m'arrivait un truc elles se retrouveraient sous la garde de mon père et ça c'était juste hors de question. Je reprenais mes caresses et puis vint embrasser son cou, laissant ma marque dans son cou, au moins il aura un souvenir de moi pendant quelques jours. Je reviens l'embrasser et il prolonge en caressant ma peau nue, je frémis. Mais il se détache, je lui lance un regard surpris et puis soupire en écoutant ses mots, il n'y a que lui pour me sortir ça. Je le regarde se lever et s'éloigner de moi mais c'est bien mal me connaître, j'ai envie de lui ce soir. Je me lève et vient l'embrasser de nouveau posant mes mains bien sur son entre jambe. Je susurre « Allez Alexis, tu sais aussi bien que moi qu'il n'y a que ce soir que tu as tes chances avec moi, pourquoi laisser passer une si jolie occasion » Tout en parlant je garde mes mains en place et je souris en sentant son envie. Je finis par ajouter « De toute façon si ce n'est pas toi ce seras un autre Alexis » Je lui lance un regard narquois voulant demander, tu préfères que ce soit toi ou un autre ?

Lun 5 Sep 2016 - 16:14

Une chose était sure c’est que moi aussi je mourrais d’envie de finir avec elle dans mon lit ; mais pas comme cela. Je voulais qu’elle ait les idées claires et que je ne m’en prenne pas plein la tête demain. Si j’avais été sou moi aussi je n’aurais même pas réfléchit deux seconde et je lui aurais arraché ses vêtements dans la seconde mais ce n’était pas le cas et je ne voulais pas me comporter comme un connard, comme je l’avais été quand j’étais parti pour sa grossesse.

Alors qu’elle continuait à me déshabiller elle finit par m’avouer qu’elle avait prit de la drogue. J’avais peur pour elle, peur de ce qui pouvait lui arriver si elle faisait un malaise ou un bad treap suite à cela. Je ne pu m’empêcher de prendre la parole en la regardant droit dans les yeux. Je lui caressais la joue, je n’arrivais pas à arrêter. Rien de bien méchant ? Attend Phoebe tu plaisante ? C’étais quoi ? Je voulais savoir pour pouvoir réagir aux moindres soucis, mon coté étudiant en médecine ressortait. Enfin c’étais surtout que j’avais une peur bleu de la perdre. Puis elle m’embrassa a nouveau, bordel quel effet de dingue elle me faisait juste en m’embrassant. Je dus me concentrer de toute mes forces pour la repousser et j’eus beaucoup de mal a me lever loin d’elle. Je pensais qu’elle allait se calmer mais non elle revient à nouveau vers moi en m’embrassant. Je frémis en sentant ses mains sur une partie sensible de mon corps. Sous ses mains elle devait très bien sentir l’effet qu’elle me faisait. Puis je l’entendis parler et ce qu’elle dit me perturba. Je me plaçai donc devant elle en l’attrapant par la taille et finit par dire. J’espère que tu plaisante là, tu compte coucher avec n’importe qui ?

Lun 5 Sep 2016 - 18:46

Je continuais de le chauffer, j'avais besoin de le faire, je mourrais envie de faire l'amour et de préférence avec lui. Je lui souriais, un peu plus que lorsque je n'étais pas fâchée envers lui, quand on était un couple il y a longtemps. Alors que je me sentais très contente, heureuse et légère je remarquais que lui n'avait pas l'air très content, je plissais le front mais qu'est ce qu'il avait. La drogue, voilà pourquoi il était fâché, je soupirais « T'es pas drôle, tu sais pas t'amuser » c'est vrai quoi, il fallait savoir prendre un peu de risque par moment, sans danger on s'ennuie et puis il le savait nan, j'avais quelques fois touché à ça quand nous étions ensemble, j'aimais l'effet que ça me procurais, comme ce soir. Je répondit « J'sais plus, une pilule, de l'Ecstasy je crois » Ouais une jolie petite pilule coloré qui donnais l'impression d'être un bonbon et qui rendais joyeuse, je ne voyais pas le mal. Enfin si mais pas ce soir. Je l'embrassais avec envie mais il me repoussa, je me sentie un peu blessée mais je ne dit rien et me relevais pour le rejoindre, posant mes mains sur son entrejambe je lui parlais et je vis bien l'effet que je lui procurais, sous le tissu dans son pantalon de jogging qui lui servait de pyjama je sentais son envie. Je ne le laissais pas indifférent et il ne pouvais pas me dire le contraire. Je sentis ses mains sur ma taille et je souris doucement. Il me demanda alors si j'allais vraiment sortir et coucher avec un mec au hasard. Je répondis sans lâcher son entrejambe « Bah oui, j'ai envie de le faire, alors si toi non tant pis je trouverais quelqu'un d'autre » Je l'embrassais de nouveau puis attrapais sa lèvre que je mordillais. Je finit par la relâcher et murmurais « Mais je sens ton envie » Je lançais un regard explicite vers son pantalon, on devinais son anatomie tendue.

Mar 13 Sep 2016 - 22:23

Je ne pouvais pas résister a cette envie que j’avais de passer a nouveau une nuit avec elle mais je ne pouvais pas parce que je savais très bien qu’elle n’était pas dans son état normale. Je retrouvais dans ses sourires la femme que j’avais tellement aimée il y a des années, et d’ailleurs je l’aimais toujours autant. C’est d’ailleurs parce que je l’aimais que je ne pouvais laisser de coté le fait qu’elle soit bourrée et défoncée.

Je lui avais demandé ce qu’elle avait pris et elle avait finit par me répondre. Bordel, mais pourquoi elle avait fait ca. J’avais peur pour elle, ce n’était pas non plus anodin, même si tout le monde banalisait ses pilules. Apres tout je saurais ce qu’elle a pris si elle ne va pas bien.

Elle était très entreprenante et ca malgré mon refus. Bon d’accord la réaction qu’elle me provoquait en passant sa main sur mon entrejambe n’était pas en adéquation avec mes actes. Elle venait de me dire qu’elle pourrait allez voir ailleurs si je ne voulais pas coucher avec elle. Elle rajouta qu’elle avait sentit mon envie. Depuis tout à l’heure je n’arrivais plus a parler. Son dernier baiser finit par briser mes derniers retranchement et je finis par craquer et lui dit. Ok t’a gagné j’abandonne. Je finis par la rejoindre et la pris parles hanches assez sensuellement. Je mourrais d’envie de passer du bon temps avec elle. Je l’embrassais passionnément tout en passant ma main dans ses cheveux.

Mer 14 Sep 2016 - 18:56

Il avait arrêté de ne pas être drôle, il ne s'inquiétait plus de ce que j'avais pût prendre, encore heureux, je n'avais pas envie d'en parler, c'était juste de l'ecstasy quoi. Je lui souriais, oui j'avais envie de lui et je comptais bien le faire céder. Alors je me montrais très entreprenante, mais après tout il me connaissais, je l'étais souvent mais encore plus avec l’alcool j'avoue. Je m’amusais donc à caresser son entrejambe et je sentis bien que ça marchait. Je l'embrassais après avoir déclarer que j'irais voir ailleurs si je n'avais pas ce dont j'avais envie avec lui, je ne sais pas si je le ferais vraiment. Mais je n’eus pas à me poser la question, car il déclara qu'il abandonnait. Je souris, échec et mat, voilà une fois de plus je gagnais je murmurais doucement « Trop facile » Je vint lui mordre la lèvre et sentis ses mains dans mes cheveux. Je finir par reculer vers le comptoir et le laissais me soulever pour m'y asseoir avant d'enrouler mes jambes autour de ses hanches. Mes lèvres ne quittèrent plus les siennes et je glissais mes main sur son torse brûlant. Je lui retirais son haut et mes lèvres descendirent tout doucement le long de son torse. Finalement je remontais et lui fit un suçon dans le cou, histoire de laisser une marque, même si ce n'était qu’éphémère comme ces retrouvailles au final.

Ven 14 Oct 2016 - 10:27

Je ne m’étais pas arrêter de m’inquiéter pour elle, j’avais juste finis par me taire. En effet je savais très bien avec Phoebe que cela ne servirait à rien que je dise quoique se soit. Mademoiselle était d’une têtue que cela en était déroutant. Et puis de toute façon si c’étais moi qui lui faisait la morale elle n’écouterait rien. Et puis dernier point j’avais aussi arrêté de lui faire la morale parce que je m’étais laissé entrainer par le gout de ses lèvres que j’adorais tellement. Je ne pu résister trop longtemps a ses baisers, a ses caresses qui me faisait tellement d’effet. Phoebe savait très bien que face à elle je ne faisais pas le poids. Je ne voulais pas qu’elle s’en aille pour faire ce genre de proposition à quelqu’un d’autre. Oh oui j’étais jaloux de tous les hommes qui auraient pu poser les mains sur elle.

J’avais donc décidé de profiter d’un rare moment de tendresse avec elle. Je ne pu m’empêcher de sourire en entendant sa réflexion. Apres cela j’avoue que je m’étais laisser aller a la passion de se moment. La portant jusqu’au bar et profitant de ses lèvres sur ma peau. Je frissonnais. Je ne me gêna pas pour la débarrasser de son haut et pour laisser glisser mes doigts tout d’abord dans son dos puis pour finir par caresser sensuellement sa poitrine tout en l’embrassant a nouveau. J’avais envie d’elle il n’y avait aucun doute à avoir a cela.

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