[flashback] love is the rendered space and time sensitive heart
nate & rosie
« Qui a eu cette idée folle, Un jour d'inventer l'école, Qui a eu cette idée folle, Un jour d'inventer l'école, C'est ce sacré Charlemagne, Sacré Charlemagne ♫ » Nous sommes à la fin du mois d’août : C’est la rentrée universitaire 2015/2016 à l’Université de Los Angeles. Comme tous les ans depuis le commencement de son cursus universitaire, la danseuse revient de son voyage dans un pays lointain le matin même. Ce sont ses frères qui viennent la prendre à la sortie de l’avion. Ils se dirigent vers le Campus. Elle se rend à pieds à la maison de la Confrérie des TRI PI. Elle entre dans la chambre. Elle pose son sac de voyage sur le matelas. Elle met les mains dans les poches de son gilet. Elle fait un fait une rotation sur elle même. Elle lève les épaules en prenant une inspiration. Elle les descend en expirant l’oxygène. Elle laisse son poids « s’écraser » sur le matelas. Elle pose les paumes de ses mains sur son visage. Elle secoue la tête de droite à gauche en grimaçant. Elle lève les jambes vers le plafond. Elle les secoue. « Hum. Non. » Elle se lève. Elle ouvre son sac de voyage. Elle prend des habits. Elle se dirige vers la salle de bains. Elle en sort quelques minutes après. Elle se dirige vers la chambre. Elle prend son sac de sport. Elle prend ses habits de sport dans le sac à de voyage et les met dans le sac de sport. Elle y met aussi un certains nombres de pochettes chacune d’un aspect distinct et avec inscrit dessus quelques mots indiquant les divers contenus ainsi que quelques stylos. Elle ferme la fermeture. Elle sort de la maison de la Confrérie des TRI PI. « Lili voulait aller danser, Lili voulait aller danser, Lili voulait aller danser, Aller danser le rock‘n roll ♫ » Nous sommes quelques jours après le commencent de l’année universitaire 2015/2016 : Elle se dirige vers le nord du Campus de l’Université de Los Angeles au Département des Arts. Elle entre dans l’un des nombreux studios de danse. Elle pose son sac de sport sur le sol. Elle retire ses baskets en toiles. Elle s’avance dans la pièce. Elle attache ses cheveux en queue de cheval. Elle branche ses écouteurs sur son portable. Elle les met dans ses oreilles. Elle met de la musique. Elle ferme les yeux. Elle tourne sa tête dans un sens et dans l’autre. Elle secoue ses bras. Elle lève son pied droit et le secoue. Elle le pose. Elle lève ensuite le pied gauche et le secoue. Elle le pose aussi. Elle prend une inspiration. Elle expire ensuite l’oxygène. Et hop. L’ensemble des membres de son corps se met en mouvement. Quelques heures plus tard : Elle entend un son. Elle met fin à ses mouvements net. Elle fronce les sourcils. Elle enlève les écouteurs. Elle enroule le fil autour de sa main gauche. Elle ouvre l’application. C’est l’agenda. Elle doit se rendre au Wilson Plaza. Maintenant. Rejoindre Nate. Elle se pince la lèvre. Un sourire fait une apparition en coin. Elle se dirige vers le fond de la pièce. Elle met ses baskets en toiles. Elle prend sa bouteille d’eau. Elle met l’anse du sac de sport sur son épaule. Elle sort du studio. « Ils ont cette douceur des plus beaux paysages, Et la fidélité des oiseaux de passage, Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse, Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse, Alors, ils viennent se chauffer chez moi, Et toi aussi, tu viendras ♫ » Peu de temps après : Elle arrive au Wilson Plaza. Elle cherche l’étudiant en médecine. Elle avance dans l’espace vert en faisant des sortes de grimaces avec sa bouche. Elle se tourne vers la droite et vers la gauche en même temps. Soudain. Elle entre dans une personne. Elle se recule. « Pardon. » Elle lève la tête vers l’inconnu. Elle ouvre la bouche. Elle secoue la tête. « Oh, Nate. » Elle se passe la main dans les cheveux. Elle se pince la lèvre. « Je. » Elle se tourne vers l’espace de verdure et à nouveau vers son ancien partenaire de projet associatif en faisant des mouvements avec sa main. « Tu sais. Je te cherchais justement. » Elle a un sourire un peu mal à l’aise inscrit sur le visage. Elle prend une « fausse » expression sérieuse ensuite. « Tu voulais me voir ? » Elle lève les deux mains à la hauteur de ses épaules avec une moue innocente cherchant ainsi à faire abstraction de leurs retrouvailles maladroites.
« Qui a eu cette idée folle, Un jour d'inventer l'école, Qui a eu cette idée folle, Un jour d'inventer l'école, C'est ce sacré Charlemagne, Sacré Charlemagne ♫ » Nous sommes à la fin du mois d’août : C’est la rentrée universitaire 2015/2016 à l’Université de Los Angeles. Comme tous les ans depuis le commencement de son cursus universitaire, la danseuse revient de son voyage dans un pays lointain le matin même. Ce sont ses frères qui viennent la prendre à la sortie de l’avion. Ils se dirigent vers le Campus. Elle se rend à pieds à la maison de la Confrérie des TRI PI. Elle entre dans la chambre. Elle pose son sac de voyage sur le matelas. Elle met les mains dans les poches de son gilet. Elle fait un fait une rotation sur elle même. Elle lève les épaules en prenant une inspiration. Elle les descend en expirant l’oxygène. Elle laisse son poids « s’écraser » sur le matelas. Elle pose les paumes de ses mains sur son visage. Elle secoue la tête de droite à gauche en grimaçant. Elle lève les jambes vers le plafond. Elle les secoue. « Hum. Non. » Elle se lève. Elle ouvre son sac de voyage. Elle prend des habits. Elle se dirige vers la salle de bains. Elle en sort quelques minutes après. Elle se dirige vers la chambre. Elle prend son sac de sport. Elle prend ses habits de sport dans le sac à de voyage et les met dans le sac de sport. Elle y met aussi un certains nombres de pochettes chacune d’un aspect distinct et avec inscrit dessus quelques mots indiquant les divers contenus ainsi que quelques stylos. Elle ferme la fermeture. Elle sort de la maison de la Confrérie des TRI PI. « Lili voulait aller danser, Lili voulait aller danser, Lili voulait aller danser, Aller danser le rock‘n roll ♫ » Nous sommes quelques jours après le commencent de l’année universitaire 2015/2016 : Elle se dirige vers le nord du Campus de l’Université de Los Angeles au Département des Arts. Elle entre dans l’un des nombreux studios de danse. Elle pose son sac de sport sur le sol. Elle retire ses baskets en toiles. Elle s’avance dans la pièce. Elle attache ses cheveux en queue de cheval. Elle branche ses écouteurs sur son portable. Elle les met dans ses oreilles. Elle met de la musique. Elle ferme les yeux. Elle tourne sa tête dans un sens et dans l’autre. Elle secoue ses bras. Elle lève son pied droit et le secoue. Elle le pose. Elle lève ensuite le pied gauche et le secoue. Elle le pose aussi. Elle prend une inspiration. Elle expire ensuite l’oxygène. Et hop. L’ensemble des membres de son corps se met en mouvement. Quelques heures plus tard : Elle entend un son. Elle met fin à ses mouvements net. Elle fronce les sourcils. Elle enlève les écouteurs. Elle enroule le fil autour de sa main gauche. Elle ouvre l’application. C’est l’agenda. Elle doit se rendre au Wilson Plaza. Maintenant. Rejoindre Nate. Elle se pince la lèvre. Un sourire fait une apparition en coin. Elle se dirige vers le fond de la pièce. Elle met ses baskets en toiles. Elle prend sa bouteille d’eau. Elle met l’anse du sac de sport sur son épaule. Elle sort du studio. « Ils ont cette douceur des plus beaux paysages, Et la fidélité des oiseaux de passage, Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse, Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse, Alors, ils viennent se chauffer chez moi, Et toi aussi, tu viendras ♫ » Peu de temps après : Elle arrive au Wilson Plaza. Elle cherche l’étudiant en médecine. Elle avance dans l’espace vert en faisant des sortes de grimaces avec sa bouche. Elle se tourne vers la droite et vers la gauche en même temps. Soudain. Elle entre dans une personne. Elle se recule. « Pardon. » Elle lève la tête vers l’inconnu. Elle ouvre la bouche. Elle secoue la tête. « Oh, Nate. » Elle se passe la main dans les cheveux. Elle se pince la lèvre. « Je. » Elle se tourne vers l’espace de verdure et à nouveau vers son ancien partenaire de projet associatif en faisant des mouvements avec sa main. « Tu sais. Je te cherchais justement. » Elle a un sourire un peu mal à l’aise inscrit sur le visage. Elle prend une « fausse » expression sérieuse ensuite. « Tu voulais me voir ? » Elle lève les deux mains à la hauteur de ses épaules avec une moue innocente cherchant ainsi à faire abstraction de leurs retrouvailles maladroites. 
