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« i don't know how to forget your face. (laïs) »
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Aleks Kovacevic

Aleks Kovacevic
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Autres comptes : : eli, le sexy hollandais (f. lachowski) et teo, le prof séduisant (a. gallagher).
Pseudo internet / prénom : : potatoe (al).
Crédits : : cosmic light (ava) + macfly (signature). J'ai : vingt-trois ans et mon anniversaire est le : 5 septembre. Je suis : serbe et mes origines sont : serbes du côté de mon père et américano-italiennes du côté de ma mère. En ce moment, je : suis étudiant en finance. Ce qui m'attire ce sont : les femmes et leurs charmes ravageurs et côté coeur je suis : un bon gros célibâtard, l'amour c'est surfait de toute façon.
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epsilon - admin
(#Lun 7 Mai 2018 - 0:40
Si on m’avait dit qu’un jour, je participerais à une soirée clandestine dans une piscine municipale, j’aurais eu du mal à y croire. Mais, si en plus, on m’avait dit que lors de cette soirée, une descente de flics me ferait détaler comme un lapin pour me cacher, j’en aurais ris tellement ça m’aurait semblé improbable. Pourtant, c’est bel et bien le cas, puisqu’actuellement, je me retrouve à courir dans les couloirs du bâtiment -bien trop immense- à la recherche de la cachette parfaite. Celle qui me mettrait à l’abri le temps que les flics se tirent. Le problème, c’est qu’on est plusieurs et que la plupart décident de se cacher ensemble. Totalement débile. Alors moi, je continue de chercher, tout en faisant mon possible pour ne pas glisser à cause de mes pieds encore un peu mouillés. Heureusement que je n’étais pas dans l’eau au moment où les sirènes se sont fait entendre. De ce fait, j’étais bien moins trempé que si j’y avais été. Alors que j’entends des bruits de pas dans le couloir parallèle à celui où je suis, je tâte le mur à l’aveuglette, regardant par-dessus mon épaule pour être certain de ne pas me faire choper, jusqu’à tomber sur une poignée. J’appuie dessus pour ouvrir la porte, m’engouffre à l’intérieur de la pièce sans attendre une seconde de plus et referme derrière moi. L’oreille contre la porte, j’écoute les bruits dans le couloir. Rien. Du moins, hors de la pièce, parce qu’ici, j’entends le bruit d’une respiration saccadée. Sûrement dû à la course pour se cacher d’ailleurs. Mon portable en main, j’active la lampe et pointe la lumière vers le fond de la pièce, qui n’est pas très grande. Tout juste un peu plus qu’un placard à balais. Super. Mais ce n’est pas ça qui retient mon attention. « Qu’est-ce que tu fais là toi ? » Que je demande doucement dans un soupir. Laïs, mon ex petite-amie. C’est elle que j’ai face à moi. Forcément, il fallait que ça soit elle. Le destin aime bien se foutre de ma gueule, il faut croire. Je baisse la lumière qui aveugle sans aucun doute la demoiselle et me retourne vers la porte pour l’ouvrir, avec le but premier de me tirer de cette pièce et ne pas rester avec elle. Sauf que, problème, … Il n’y a pas de poignet. « Non mais c’est une blague ? Qui est l'abruti qui met pas de poignet à l'intérieur d'une pièce ? » Je soupire et appuie ma tête contre la porte. C’est un mauvais rêve, c’est ça ? Je vais bientôt me réveiller, hein ?
Laïs Maestri

Laïs Maestri
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Autres comptes : : Pepper la plus parfaite (G. Hadid), Lilo la catastrophe ambulante (J. Skriver) et Irina la bonasse (K. Bazan)
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Crédits : : havana. J'ai : 21 ans et mon anniversaire est le : 4 juillet. Née pendant le feu d'artifice, c'était pour remercier ma naissance et celle de ma sœur. Je suis : américaine et mes origines sont : italiennes du côté de mon père. En ce moment, je : suis étudiante en 4ème année de finance. Un jour je serai celle qui gérera ce domaine dans l'entreprise familiale. En dehors des cours je fais partie : du club de tennis, prête à faire de l'ombre à Novak. Si jamais vous me cherchez, j'habite : dans un penthouse donnant sur l'océan à Venice Beach, avec Shiloh. Ce qui m'attire ce sont : les hommes et côté coeur je suis : une célibataire profitant sans modération des plaisirs charnels.
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tri pi - admin
(#Mer 16 Mai 2018 - 23:26
Soirée clandestine dans une piscine municipale. Evidemment que Laïs n’avait pas hésité une seule seconde pour savoir si elle viendrait ou non. L’occasion était trop belle et trop rare pour manquer ça. Mais ça aurait été plus beau si la musique n’avait pas été interrompue par des sirènes et des gens venant hurler que la police arrive. Ça n’avait pas tardé, en une seconde ça avait été le bordel. Tous ceux qui sont dans la piscine en sortent, Laïs en fait de même, tout le monde se met à courir dans tous les sens, à se bousculer, à glisser, et comme des idiots ils se dirigent presque tous vers les mêmes endroits. Le meilleur moyen de se faire choper. Alors Laïs elle va dans la direction opposée, en prenant quand même le temps de retrouver ses baskets et de les enfiler rapidement. Elle aimerait éviter de se casser la gueule, comme plusieurs l’ont fait en se précipitant. Et puis parce qu’elle est un peu moins paniquée aussi. Certes ce serait nul de se faire attraper, mais à elle ça lui causerait pas énormément de soucis, ce serait vite arrangé. Mais elle part quand même à la recherche d’un bon endroit pour se cacher, un où elle sera presque sûre qu’on la trouvera pas. Quand elle entend des voix graves se diriger vers elle elle se presse un peu plus et court plus vite jusqu’à une porte qu’elle trouve quelques mètres plus loin. Porte qu’elle referme aussitôt derrière elle avant de s’y adosser. C’est là qu’elle se rend compte d’un détail très problématique. Elle ne sent pas de poignée dans son dos, il n’y en a une qu’à l’extérieur. Son premier réflexe est d’attraper son téléphone pour prévenir quelqu’un, sauf qu’elle était dans l’eau quelques minutes plus tôt et qu’elle n’a pas son téléphone sur elle. Et là elle commence à paniquer, à faire les cent pas dans les tout petits mètres carrés. Finalement elle espère qu’on la trouvera, elle veut pas mourir ici. Elle a un moment de joie intense quand la porte s’ouvre, qui retombe aussitôt lorsqu’elle se referme avant même qu’elle n’ait eu le temps d’ouvrir la bouche. Et qui retombe encore plus lorsqu’elle voit la personne qui finit par pointer la lampe de son mobile sur elle. Aleks. Cette soirée est définitivement pourrie. « Qu’est-ce que tu fais là toi ? » Comme à chaque fois qu’elle le voit, son regard devient tout de suite noir et son ton cinglant. « A ton avis ? La même chose que toi. Je suis pas venue parce que j’aime visiter les placards. » Elle veut ajouter qu’il serait sympa d’arrêter de l’éblouir mais il se tourne vers la porte avant qu’elle le fasse, et il remarque à son tour qu’il est bloqué à l’intérieur. « Non mais c’est une blague ? Qui est l'abruti qui met pas de poignet à l'intérieur d'une pièce ? » Elle lève les yeux et soupire, exaspérée par la question. Ou plutôt exaspérée par lui tout court. « Si un jour tu le croises t’auras qu’à lui dire que c’était une idée de merde. »
Aleks Kovacevic

Aleks Kovacevic
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epsilon - admin
(#Ven 18 Mai 2018 - 22:20
« A ton avis ? La même chose que toi. Je suis pas venue parce que j’aime visiter les placards. » Je lève les yeux au ciel. Encore une fois, elle est désagréable et je ne peux m’empêcher de lui balancer : « Pourtant, j’ai le souvenir que t’aimais ça, avant. » Avant, quand on sortait encore ensemble et qu’on passait pas mal de temps à se bécoter, à se tripoter ou autre dans un des placards du lycée. N’attendant pas sa réponse, je me tourne vers la porte pour repartir, mais constate que ça ne sera pas possible. Putain… « Si un jour tu le croises t’auras qu’à lui dire que c’était une idée de merde. » Dit-elle après mon questionnement sur la personne à l’origine de la conception de cette porte. « Ouais. Ou je le cognerais, ça sera plus rapide. » J’hausse les épaules et soupire une fois de plus. Parfois, je me demande si j’ai fait quelque chose de mal pour avoir autant de poisse… De toutes les personnes qui auraient pu se retrouver coincé ici avec moi, il fallait que ça soit Laïs. Mon ex petite-amie. Celle qui m’a lâchement largué sans aucune raison. Celle qui m’a fatalement brisé le cœur, entre autres. Alors, c’est évident que j’aurais aimé me retrouver bloqué dans une pièce avec quelqu’un d’autre. Une fille de préférence. Au moins, j’aurai pu la baiser pour passer le temps, dans l’espoir qu’une tierce personne nous libère ensuite. Mais non. En plus d’être coincé avec mon ex, je suis condamné à ne pas coucher ce soir. Monde cruel. Néanmoins, au lieu de déverser cette haine que je ressens pour elle, il faut que je reste calme et sympathique -ou du moins, un peu-. Quitte à être ici, ensemble, pendant une durée indéterminée, autant ne pas s’engueuler, non ? Le regard rivé sur le téléphone, je tente d’appeler les secours, un pote, même l’un des employés de maison, mais rien à faire. « Ça sonne pas, j’ai aucun réseau… On est maudits, je crois… » C’est le cas de le dire… Un frisson me prend alors et je repense au fait que je suis encore un peu mouillé. Il ne fait pas très chaud dans cette pièce, donc forcément, mon corps ne le supporte pas vraiment. Je repense aussi au fait que j’ai ma serviette en main, ayant pris la fuite avant même d’avoir l’idée de la lâcher. Je m'en félicite mentalement. « Tiens ça deux secondes. » Je n’attends pas son accord pour lui refiler mon portable, la lumière de la lampe étant face à moi et m’éclairant. Parfait. Profitant du fait d’avoir ma serviette avec moi, je commence par totalement essuyer mes bras, avant de passer à mon torse. Je passe la serviette sur cette partie de mon corps, le faisant avec lenteur en sentant le regard de la demoiselle sur moi. Pourtant, je devrais aller plus vite, en finir rapidement pour qu’elle ne puisse pas saisir tous mes tatouages. Surtout pas celui que j’ai au niveau du cœur. Habituellement, elle n’aurait pas pu le remarquer, ce dernier étant relativement petit pour être plus discret. Mais là, dans un espace aussi exigu, avec elle près de moi et la lumière en plein sur cette partie de mon torse, nul doute qu’elle le verra. Et malgré ça, je ne me décide pas à en finir plus vite. Au fond, peut-être bien que j’ai envie qu’elle le remarque, qu’elle comprenne que pour moi, ce n’était pas tout sauf banal ce qu’on a vécu. Peut-être bien, ouais. Ou peut-être que j’ai juste envie de retourner le couteau dans la plaie, en fait.
Laïs Maestri

Laïs Maestri
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tri pi - admin
(#Lun 21 Mai 2018 - 1:24
« Pourtant, j’ai le souvenir que t’aimais ça, avant. » Elle l’imite, et lève les yeux au ciel comme il l’a fait juste avant de prononcer cette phrase. Elle commence à s’y faire à ce genre de remarques, à ne plus être étonnée qu’il évoque ces moments-là quand ils sont ensemble. Ça ne servirait à rien de surenchérir et de toute façon il lui tourne aussitôt le dos dans l’intention de quitter la pièce. Mais sans poignée, il aura du mal. « Ouais. Ou je le cognerais, ça sera plus rapide. » Si ça l’enchante, qu’il fasse ce qu’il veut. Elle est loin, même très loin d’être légitime pour dire que la violence c’est mal et qu’il ne faut pas taper les gens. Elle est toujours la première à foncer dans le tas pour frapper. Alors elle ne répond rien, et puis elle est trop préoccupée pour qu’une nouvelle remarque sorte spontanément de sa bouche. Au moins pour une fois il y a quelque chose qui l’agace beaucoup plus que la présence d’Aleks aussi près d’elle. Certes elle aurait préféré que ce soit quelqu’un d’autre que lui, quelqu’un qu’elle ne meurt pas d’envie d’étrangler, mais c’est toujours mieux que d’être toute seule. Par contre être bloquée dans un endroit aussi petit, sans savoir ce qui va se passer, sans savoir dans combien de temps elle pourra sortir, ça elle aurait vraiment aimé que ça ne lui arrive jamais. Elle n’est pas spécialement claustrophobe, du moins elle ne l’est pas quand elle sait qu’elle peut partir quand elle veut, et là elle se sentirait beaucoup plus à l’aise dehors, même entourée de flics. Jetant un coup d’œil autour d’elle pour essayer, malgré l’obscurité, de deviner les objets qui se trouvent dans la pièce, elle porte son attention sur une espèce de plan de travail assez étroit. Ce sera suffisant pour qu’elle s’y assoit pendant qu’elle regarde son ex petit ami pianoter sur son mobile, l’idée de rester debout ne l’enchantant pas trop. « Ça sonne pas, j’ai aucun réseau… On est maudits, je crois… » Maudits. Le mot est encore faible selon elle. L’univers entier semble avoir décidé de se liguer contre eux sans leur laisser un peu de répit. « Tiens ça deux secondes. » Il lui met le téléphone dans la main avant même qu’elle puisse faire un geste et, tranquillement, commence à s’essuyer les bras. Ça lui fait froncer les sourcils à Laïs. « Pourquoi t’as l’air aussi zen alors qu’on pourrait rester coincés ici pendant une éternité. » Elle a du mal à comprendre comment il peut prendre tout ça sereinement alors qu’elle, elle est paniquée à l’idée que personne ne vienne ouvrir cette putain de porte avant des lustres. Cela dit, ça lui fait au moins une distraction de le regarder faire. Il est là, à exhiber son corps juste devant elle et il prend apparemment un malin plaisir à le faire lentement. Pourquoi elle se gênerait de contempler. Elle examine les tatouages qu’il n’avait pas encore quand il avait quitté Los Angeles, jusqu’à soudainement poser sa main libre sur son torse. « Quand… » Elle se stoppe aussitôt, continuant à fixer la date qu’elle a sous les yeux, sans dévier le regard une seconde pour être sûre qu’elle ne se trompe pas, qu’elle voit bien ce qu’elle voit. Par réflexe, son pouce glisse doucement par-dessus, comme pour l’effacer, mais elle est bien toujours là. « Depuis quand t’as ce tatouage ? » Une nouvelle fois ses sourcils se froncent, elle ne le comprend pas ce tatouage. Pourquoi graver sur son corps, à cet endroit particulièrement, la date la plus importante de leur histoire après ce qu’il lui a fait. Ça n’a absolument rien de logique.
Aleks Kovacevic

Aleks Kovacevic
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epsilon - admin
(#Sam 2 Juin 2018 - 20:22
« Pourquoi t’as l’air aussi zen alors qu’on pourrait rester coincés ici pendant une éternité. » Je pose les yeux sur Laïs, découvrant son regard intrigué. Je soupire, puis lâche : « A quoi ça servirait de paniquer ou s’énerver ? On restera quand même bloqué ici pour une durée indéterminée. » Je ne pense pas avoir tort pour le coup, il serait totalement inutile de céder à la panique et ça ne ferait qu’aggraver les choses. Après avoir expliqué mon comportement qui semble intrigué la jeune fille, je m’active pour m’essuyer afin de me sécher. Forcément, l’envie de la provoquer me vient en tête et je ne résiste pas à l’idée de le faire. Et ça marche, ses yeux se portent sur mon torse et elle le contemple. Au fond, je sais qu’il faudrait que je stoppe tout avant qu’elle ne voit le tatouage que je tente de lui cacher depuis mon retour. Mais il est trop tard, il n’y a plus de retour en arrière. Sans que je m’y attende, elle se rapproche un peu plus et pose sa main sur mon torse. « Quand… » Je me stoppe dans mes mouvements, fronçant légèrement les sourcils un court instant, avant de comprendre ce qu’elle observe fixement. Ce qui attire son regard n’est autre que le tatouage que j’ai sur le cœur. Une date que nous partageons tous les deux, une date gravée à jamais dans nos esprits. Du moins, elle l’est dans le mien. Dans le sien, je n’en sais rien. Je m’apprête à lâcher quelque chose à propos de ce qu’elle a découvert, mais me stoppe en sentant ses caresses sur cette partie de mon torse. Son pouce glisse sur ce morceau de ma peau et, moi, je ne peux m’empêcher de frissonner. Je pourrais dire que c’est à cause de la fraîcheur de la pièce et du fait que mon corps n’est pas totalement sec, mais ça serait faux. Je le sais. Ce qui me fait cet effet, c’est elle, comme dans cette chambre lorsqu’on avait dérapé. « Depuis quand t’as ce tatouage ? » Qu’elle finit par me demander et je ferme les yeux quelques minutes. Je prends le temps d’apaiser les battements de mon cœur qui commence un peu trop à s’emballer, réfléchissant à si je dois lui dire la vérité ou non. Après quelques minutes, je choisis la première option et déclare, une fois les yeux de nouveau ouverts : « Depuis mes dix-huit ans. » Et je n’en dis pas plus, ne voulant pas en dévoiler plus qu’il n’en faut. Ce tatouage, elle aurait dû le voir l’année de mes dix-huit ans, lorsque je devais revenir à Los Angeles pour les vacances. Sauf qu’elle a rompu quelques temps avant. Enfin, non, elle a disparu de ma vie, sans le moindre mot. Alors elle ne l’a jamais su et je ne pensais pas qu’elle le découvrirait un jour. Retrouvant mon calme, je pose une main sur la sienne et retrouve ce sourire taquin qui me définit si bien désormais. « Maintenant, à moins de vouloir me sécher et me réchauffer par toi-même, tu peux retirer ta main de mon torse ? » Je l’interroge, mais malgré moi, ma main retient la sienne. Comme si je n’avais aucune envie qu’elle la retire. Comme si j’avais envie de tout compliquer encore une fois.
Laïs Maestri

Laïs Maestri
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tri pi - admin
(#Lun 4 Juin 2018 - 16:17
« A quoi ça servirait de paniquer ou s’énerver ? On restera quand même bloqué ici pour une durée indéterminée. » Certes. Mais ça n’empêche quand même pas Laïs d’être stressée à mort. Prendre avec le plus grand des calmes l’idée qu’elle pourrait peut-être passer des jours enfermée ici, voire même plus, qui sait après après tout, trop compliqué à faire pour elle. Et être optimiste en se disant qu’ils ne resteront peut-être coincés que quelques heures, ou moins, ça non plus elle n’y arrive pas. Ça fait des années qu’elle a du mal à l’être optimiste. Sans répondre elle le regarde se sécher lentement, faisant exprès d’attirer son regard sur lui, et c’est comme ça qu’elle finit par remarquer la date tatouée au niveau de son cœur. Par réflexe elle y pose sa main, avant de caresser cette partie de sa peau de son pouce. Ses yeux se relèvent sur lui après qu’elle lui ait demandé depuis quand il a ce tatouage et elle le voit fermer les siens un moment, avant de les rouvrir pour lui répondre. « Depuis mes dix-huit ans. » Ses dix-huit ans. C’est l’année où ils ont rompu. Ou plutôt l’année où elle s’est mise à l’ignorer après avoir appris qu’il la trompait. Ça vaut la même chose qu’une rupture. Est-ce qu’il l’a fait avant ou après que ça arrive. Quoi qu’il en soit, l’un ou l’autre, ça n’a pas de sens, pour elle en tout cas ça n’en a pas. Ça la perturbe, elle est complètement perdue dans ses pensées quand il pose la main sur la sienne et c’est ce qui la fait revenir à la réalité, dans cette pièce, avec lui. Lui qui, comme d’habitude, prend cet air qui réussit à la mettre sur les nerfs en quelques secondes. « Maintenant, à moins de vouloir me sécher et me réchauffer par toi-même, tu peux retirer ta main de mon torse ? » Ça l’amuse d’agir comme ça avec elle, elle l’a bien compris. Et sa main elle pourrait la retirer si la sienne ne le lui empêchait pas. Pourtant elle aurait dû le faire, forcer pour l’enlever. Au lieu de ça elle s’approche encore un peu plus de lui, assez près pour qu’elle puisse chuchoter mais qu’il l’entende quand même très bien. « T’as raison, il fait froid ici. » De sa main libre elle se met à caresser doucement son bras, descendant jusqu’à sa main. « Ce serait pas mal de se réchauffer. » Et d’un coup sec elle retire la main qui se trouvait sur son torse, attrapant la serviette d’Aleks avec l’autre. Puis elle reprend sa place sur le petit plan de travail derrière elle d’où elle était descendue quelques minutes plus tôt. « C’est sympa de me prêter ta serviette pour que je puisse le faire. » Et comme il l’avait fait, elle commence à se sécher, passant lentement la serviette entre ses seins, la faisant glisser sur son ventre, puis elle écarte les jambes pour la passer sur l’intérieur de ses cuisses. Puisqu’il veut jouer à ce petit jeu avec elle, elle est prête à entrer dans la partie plutôt que de s’énerver à chaque fois.
Aleks Kovacevic

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epsilon - admin
(#Dim 17 Juin 2018 - 17:45
Comme d’habitude, je trouve un moyen pour la provoquer, retenant sa main de la mienne afin qu’elle ne m’échappe pas cette fois encore. À croire qu’elle n’a pas envie de partir puisqu’elle n’essaye même pas de retirer sa main. À la place, elle s’approche un peu plus vers moi, chuchotant : « T’as raison, il fait froid ici. » Elle caresse doucement mon bras et je suis les gestes qu’elle fait, sans aucun mouvement pour la contrer. Je n’ai aucune raison de le faire, au fond. « Ce serait pas mal de se réchauffer. » Mes yeux remontent vers les siens, ne dissimulant pas à quel point l’optique de nous réchauffer ensemble me plaît bien. Cependant, elle me prend par surprise lorsqu’elle arrache la serviette de ma main et retourne s’installer sur le plan de travail où elle se trouvait juste avant. J’entrouvre la bouche pour dire quelque chose, mais elle me coupe avant que je ne puisse parler. « C’est sympa de me prêter ta serviette pour que je puisse le faire. » Tranquillement, elle commence à passer la serviette sur elle, la glissant entre ses seins, puis sur son ventre pour finir sur ses cuisses qu’elles ouvrent face à moi. Je me mordille la lèvre inférieure, c’est plus fort que moi. C’est fou comme la chaleur vient d’augmenter dans cette pièce, et dans mon corps surtout. Si juste avant, j’étais à deux doigts de l’envoyer balader, là ce n’est plus le cas. Il est hors de question que je reste spectateur de ce qui est en train de se passer et que je la laisse m’exciter sans rien faire en retour. Elle le sera tout autant. « J’en ai encore besoin, tu sais ? » Que je lui demande tout en m’approchant d’elle. « Mais je peux très bien m’en servir en même temps que toi. » Et sans la moindre gêne, ou la moindre hésitation, je me place entre ses cuisses et viens saisir un bout de serviette pour la passer sur mon torse. Je descends la serviette sur mon ventre, jusqu’à ce que ma main entre en contact avec sa cuisse. Relevant le regard vers le sien, un léger sourire se pointe au coin de mes lèvres, pendant que je remonte la serviette sur sa cuisse et fait glisser ma main sur sa peau. « Je te trouve encore mouillée par ici, laisse-moi t’aider à te sécher. » Dis-je d’un ton coquin et tandis que ma main continue son ascension sur sa cuisse, remontant vers son intimité, j’approche mon visage du sien pour venir lui glisser à l’oreille : « Je parie que tu l’es aussi ici, Laïs. » Et ma main arrive à destination sans rencontrer d'obstacles, constatant d'elle-même que j'ai raison, pendant que j'ajoute dans un murmure : « Je peux t’aider à ne plus l’être. »
Laïs Maestri

Laïs Maestri
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Crédits : : havana. J'ai : 21 ans et mon anniversaire est le : 4 juillet. Née pendant le feu d'artifice, c'était pour remercier ma naissance et celle de ma sœur. Je suis : américaine et mes origines sont : italiennes du côté de mon père. En ce moment, je : suis étudiante en 4ème année de finance. Un jour je serai celle qui gérera ce domaine dans l'entreprise familiale. En dehors des cours je fais partie : du club de tennis, prête à faire de l'ombre à Novak. Si jamais vous me cherchez, j'habite : dans un penthouse donnant sur l'océan à Venice Beach, avec Shiloh. Ce qui m'attire ce sont : les hommes et côté coeur je suis : une célibataire profitant sans modération des plaisirs charnels.
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tri pi - admin
(#Lun 25 Juin 2018 - 16:51
Encore une fois il la provoque, comme il le fait tout le temps avec elle. Il cherche à la faire flancher, à ce qu’elle cède et elle a encore du mal à comprendre pourquoi. Ce serait pourtant surement bien mieux pour eux deux si ça n’arrivait pas. Mais elle en a marre de s’énerver à chaque fois qu’il le fait, marre de lui montrer qu’il peut si facilement la mettre sur les nerfs. Pour une fois elle a envie de rentrer dans son jeu elle aussi, il n’est pas le seul à pouvoir l’exciter, à s’amuser avec elle. Et elle atteint son but en quelques secondes, elle le comprend en le voyant se mordiller la lèvre quand elle ouvre les cuisses pour y passer la serviette. Un petit sourire victorieux apparait sur ses lèvres mais lui ne se démonte pas pour autant et se rapproche. « J’en ai encore besoin, tu sais ? Mais je peux très bien m’en servir en même temps que toi. » Il vient alors se placer entre ses jambes, attrape un bout de la serviette, la fait glisser sur lui jusqu’à toucher sa cuisse. Puis il lève les yeux vers les siens et sourit du coin des lèvres tout en caressant sa jambe avec la serviette, et avec sa main. Alors qu’elle elle sert les dents en essayant de conserver le regard le plus neutre possible pour qu’il ne remarque pas ce que ça lui provoque de sentir ses doigts glisser sur sa peau. « Je te trouve encore mouillée par ici, laisse-moi t’aider à te sécher. » Son ton devient différent, il commence doucement à la chauffer et ça marche puisqu’elle sent la température de son corps monter de plus en plus. Mais elle ne bouge toujours pas, pas même quand il approche son visage pour venir parler à son oreille. « Je parie que tu l’es aussi ici, Laïs. » Elle arrête même de respirer un instant lorsque sa main atteint son but. « Je peux t’aider à ne plus l’être. » Bordel, il est doué à ce jeu-là. Ce n’est pas comme ça qu’elle voulait que ça se passe mais s’il continue comme ça il va vraiment réussir à la faire céder. Elle a besoin de reprendre le contrôle, d’être celle qui le met dans tous ses états. Posant la main sur sa mâchoire elle l’entraine à revenir face à elle et approche encore plus son visage, jusqu’à ce que leurs lèvres ne se retrouvent plus qu’à quelques millimètres. « A ne plus l’être ou à l’être encore plus ? » De son autre main elle reprend la serviette et la lâche volontairement sur le sol. « Oups, je vais la ramasser. » Elle pousse alors légèrement Aleks pour le faire reculer, se met dos à lui et se penche pour la ramasser, sans manquer de se coller à lui, ses fesses se frottant contre son sexe.
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