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Indiana Haggerty

Indiana Haggerty
Date d'inscription : : 09/12/2015
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Avatar : : shay mitchell.
Autres comptes : : adèle d'harcourt (margot robbie).
Pseudo internet / prénom : : estelle.
Crédits : : HOODWINK (avatar) et old money (sign). J'ai : 24 ans et mon anniversaire est le : 10 avril, n'oubliez pas de m'organiser une fête surprise. Je suis : américaine et fière de l'être et mes origines sont : américaines. En ce moment, je : suis diplômée d'un bachelor en communication de UCLA. Je travaille comme barmaid dans le pub O'Haras et manager du talentueux James Hemsworth. Si jamais vous me cherchez, j'habite : en colocation avec Pepper dans un appartement à Westwood. Ce qui m'attire ce sont : les hommes, mais pas les moches et côté coeur je suis : en couple et heureuse avec Cael.
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qu'est-ce que j'irais faire au paradis
quand tu t'endors près de moi ?
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(#Dim 29 Juil 2018 - 19:38
Affalée sur le canapé, les yeux rivés sur l'écran de télévision, je regarde une émission lambda sans vraiment la suivre, l'esprit torturé par les idées noires qui se sont invitées dans ma tête depuis quelques jours. Je pensais vraiment avoir traversé le plus dur. J'ai réussi à pardonner son infidélité à Cael, ses mensonges sur le fait qu'il était toujours en contact avec Robyn et j'ai même réussi à enterrer la hache de guerre avec elle. Pas plus tard que le mois dernier, j'ai réussi à surmonter l'épreuve la plus éprouvante de ma vie en disant adieu à l'être qui avait commencé à grandir dans mon ventre. Était-ce si naïf de ma part de croire que désormais plus rien ne pourrait jamais se mettre en travers de notre route ? Je me sens terriblement bête d'avoir eu cet espoir. Parce que je me trompais sur toute la ligne, tout ceci n'était en réalité que le début de la fin. Il m'avait fallu une visite impromptue à la demeure El-Hadid pour le comprendre. J'ai toujours soigneusement évité la mère de Cael, qui m'avait signifié dès notre première rencontre que je ne serai jamais la bienvenue dans sa famille. Des années plus tard, je prends enfin la pleine mesure de ce message et je réalise à quel point son influence sur son fils est grande. Notre tête à tête fut bref et concis mais déjà beaucoup trop long à mes yeux. Après cette conversation, je n'avais pu supporter de rester une minute de plus dans une maison qui me rejetait autant. Le poison qu'elle avait instillé dans mes veines a eu raison de toutes mes certitudes. Le comportement étrange de Cael ces dernières semaines ne pouvait avoir qu'une seule explication. Nous n'aurons pas de happy ending.

La sonnette de l'appartement me fait sursauter et je me lève de mauvais gré pour vérifier l'identité du visiteur. En le voyant à travers le judas, mon coeur se glace. Je ne suis pas prête à le voir. Presqu'une semaine s'est écoulée depuis que mes rêves se sont envolés et je ne réponds plus à ses messages, prétextant être malade. En fait je le suis vraiment. Je suis malade de lui, malade de l'aimer à en mourir. Malade de savoir qu'il ne m'aime plus comme avant et que nos chemins se sépareront très bientôt. « Va-t-en, je suis malade. » que je lui demande à travers la porte fermée. Je refuse qu'il me dise adieu aujourd'hui.

@Cael El-Hadid
Invité

Anonymous
(#Ven 24 Aoû 2018 - 0:43
Elle m'évite, je le sens. Une partie de moi avait peur qu'elle ai remarqué, qu'elle dise quelque chose, que je sois obligé de répondre. Pourquoi ce comportement ? Je ne saurais pas quoi dire. Je n'ai jamais été doué aux confrontations, pas avec elle en tout cas. Et que pourrais-je lui dire ? La vérité ? Je ne pourrais pas. C'est impossible. Je gâcherais tout, ça gâcherais tout et après tout ce que nous avions vécu, je n'avais pas envie de faire ça mal. Je devais le faire bien, proprement. Comme elle le méritait. Elle méritait mieux, je devais au moins essayer. Pour elle. J'avais beau essayer, essayer d'être moins distant, plus accessible sans pour autant laisser transparaître mes vraies intentions, mais j'échouais peut-être ? Tout ce que je savais aujourd'hui était que les rôles avaient changé, qu'à présent, c'était elle qui m'évitait. Elle qui se comportait étrangement. Était-ce une punition ? Une façon pour elle de me faire goûter à ma propre médecine histoire de me faire réagir ? Je n'avais pas envie de jouer à ce jeu, de rentrer dedans. Je n'avais pas envie de faire le premier pas, d'aller la chercher. Parce qu'au fond ça m'allait, ça m'enlevait un poids des épaules, ça m'allégeait un peu. Si je ne la voyais pas, je n'avais pas à me mordre la langue à chaque fois que je la voyais. Mon cœur n'essayait pas de sortir de ma poitrine et je n'étais pas en constante sueur. J'avais peur. Oui, on pouvait le dire. De nous. De ce que nous allions devenir. De notre avenir. J'avais peur, mais j'étais décidé. Je savais ce que j'avais à faire, il me fallait juste un peu de courage. Et de préparation. Mais je ne pouvais pas faire cela sans la voir, sans lui parler. Et elle ne me répondait plus.

La porte ne s'ouvre pas, mais j'entends derrière la voix de la femme pour qui mon cœur bas depuis si longtemps. Un sourire s'esquisse sur mon visage. Mais il s'efface à ses mots. Je soupire. Je voulais comprendre ce qui lui arrivait, mais j'étais coupé dans mon élan par son attitude avant même de dire un mot. Je ne bougeais par autant, bien décidé à ce qu'elle ouvre la porte et qu'elle communique. Ouvre la porte Indiana. Ma voix était posé, calme, mais ferme. J'essayais de ne pas lui laisser le choix, sachant pourtant bien qu'elle l'avait. J'attendrais le temps qu'il faudrait. Je pouvais bien entendre que quelque chose n'allait pas, je pouvais le sentir. Je n'avais pas besoin de la voir pour cela, ce que je voulais savoir était pourquoi, qu'est-ce qui n'allait pas ?. Je l'ai vu dans des états bien pire que "malade", pourquoi ne pas m'ouvrir ?

Elle finit par ouvrir. Je regarde dans ses yeux et essaie d'y trouver un diagnostique, une raison. J'y vois la lueur qui m'a tenu pendant ses dernières années, la lueur de la femme que j'aime, et qui m'aime. Je vois ça, mais ne me concentre que sur ses yeux rouges, sa mauvaise mine, le fait qu'elle soit si fermé, détaché. Ou plutôt qu'elle agisse comme ça. Je pose mes mains sur ses épaules, ne quittai pas son regard. Tu ne réponds pas au téléphone. À mes messages. Je pense que ça justifie un petit passage à l'improviste non ? J'entre, sans pour autant avoir été invité et ferme la porte derrière moi. Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
Indiana Haggerty

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(#Mer 24 Oct 2018 - 19:08
Je me suis toujours crue forte, répétant bêtement ce que les autres disaient de moi et de ma personnalité. Aujourd’hui cela ne fait que rendre la chute plus cruelle encore. La vérité est que je n’ai rien d’une femme forte au contraire, je fais partie de l’espèce la moins noble qui compose la population humaine, l’espèce des lâches. Elle est là cette tare, celle qui s’était terrée dans un coin de ma tête pendant si longtemps pour mieux rejaillir maintenant que je me retrouve confrontée à ma peur la plus terrifiante. Non je ne veux pas qu’il me largue. Je ne veux pas qu’il m’abandonne. Rien que de penser cette possibilité me fait suffoquer. J’ai besoin de lui, plus que jamais. Je ne peux tout simplement pas imaginer ma vie sans lui, je l’ai trop dans la peau. Le pire, c’est que je sais déjà ce que ça fait de le perdre. Et je me doute que ce n’était finalement qu’un petit aperçu de ce que je vais connaître très bientôt. Je n’y survivrai pas, pas cette fois. A l’époque on avait réussi à se relever, ensemble, et cela n’avait fait que renforcer notre amour. Ma dépendance. Je n’existe plus sans lui. C’est pour ça que même si sa décision est déjà prise, je trouverai un moyen de le faire changer d’avis. J’y crois, parce que c’est la seule solution, mon seul espoir.

« Ouvre la porte Indiana. » Entendre mon prénom sortir de sa bouche est une pure souffrance. Je me surprends à y chercher la moindre différence avec la dernière fois que je l’ai entendu le prononcer. Est-ce que toute trace d’amour y a déjà disparu ? Est-ce moi ou son ton est plus froid que d’habitude ? Nos corps ne sont séparés que par une simple porte mais j’ai l’impression qu’une distance infinie s’est invitée entre nous. Comme si la rupture était déjà là, presque palpable. Je reste immobile un long moment, à l’écoute des battements affolés de mon cœur qui sent sa fin approcher. Cael non plus ne bouge pas. Il m’attend. Je comprends qu’il ne partira pas, pas avant que je ne lui aie ouvert ma porte pour qu’il puisse la refermer définitivement. Il doit avoir hâte d’en finir. Le moment est venu, je ne peux pas faire l’autruche plus longtemps. Je me donne quelques secondes supplémentaires pour me préparer et me composer un masque aussi neutre que détaché. Et puis j’ouvre, ordonnant à mes yeux de soutenir son regard qui me transperce de part en part. Je demeure silencieuse, alors même que j’ai envie de hurler lorsqu’il pose ses mains sur mes épaules. « Tu ne réponds pas au téléphone. À mes messages. Je pense que ça justifie un petit passage à l'improviste non ? Qu'est-ce qu'il t'arrive ? » Je n’ai même plus envie de prétendre être malade. À quoi bon de toute façon ? Lentement, j’articule tout doucement. « J’ai compris. » Je me recule légèrement, ne supportant plus la proximité physique entre nous. « Nous ne sommes pas faits pour être ensemble. » Ma voix se brise sur ces derniers mots, en écho à mon cœur fracassé.
Invité

Anonymous
(#Mar 12 Mar 2019 - 1:52
Je reste sur le pas de sa porte, bien décidé à ne pas partir sans lui avoir parlé, sans l'avoir vu. C'est Indiana, il n'y a personne d'autre qu'elle et il n'y aura jamais personne d'autre qu'elle, et tout ce que je voulais, c'était être sûr que tout allait bien. Ce n'est pas dans ses habitudes de juste disparaître comme ça, pas sans une bonne raison... Je ne partirais pas sans savoir si tout allait bien. « Ouvre la porte Indiana. » ma question reste en suspends pendant quelques secondes, pendant lesquelles je n'entendais plus que mon cœur qui battait. J'essayais de me concentrer sur ce qu'il se passait de l'autre côté de la porte, entendre des mouvements, sa respiration, quelques choses, je savais qu'elle était là, je n'avais pas besoin de la voir pour le savoir, je pouvais le sentir, d'instinct. Puis elle ouvre, enfin, après ce qui paraît être une éternité et je permets d'entrer, de demander ce qu'il ne va pas. « J’ai compris. » Mon cœur s'arrête pendant une seconde. Merde. Elle sait. Elle sait tout, je devrais juste le faire maintenant et en finir une bonne fois pour toute. J'aurais voulu que ce moment soit parfait, je pensais que j'aurais le temps de tout planifier, que j'aurais les mots parfaits, dans la situation la plus parfaite qu'il soit et qu'on serait...« Nous ne sommes pas faits pour être ensemble. » Le fil de mes pensées est coupé dans son élan. Je perds mes mots, mes moyens, l'envie de vivre. « Quoi ? » Je ne pleure pas. Vous voyez ce cliché toxique qu'on a sur les hommes ? Le fait qu'il ne pleure pas, que ce n'est pas assez masculin et blablabla.. Cette masculinité toxique que j'ai entretenue depuis de si nombreuses années s'envolait en ses quelques petits mots. Je sentais bien que je ne pourrais pas retenir ses larmes, elles étaient déjà là, discrète mes présentes, et je ne disais plus rien... Je ne savais pas quoi dire. Mon estomac était tout retourné, mon cœur était en miette, et elle... Et elle était belle putain. Plus belle encore qu'au premier jour, magnifique et blessé. Je pouvais bien voir qu'elle était blessé, meurtrie, que c'était difficile pour elle... « Tu n'es pas obligé de faire ça... » Quelques larmes coulent sur mon visage et je me dépêche de les essuyer. Je ne tiens plus en plus, les mains sur les hanches, puis le long de mon corps, je m'approche d'elle parce que je la veux près de moi, puis je recule parce que je ne veux pas qu'elle se sente étouffé... Rien ne va. « Je t'aime Indi... Je t'aime. Je... » Je respire. « On peut attendre, si tu veux, on peut attendre, on n'est pas obligé de le faire tout de suite. Je peux attendre... » Je panique, je n'ai aucun sens, je tremble presque, mais dans tout ça, je veux juste qu'elle se souvienne d'une chose : « On s'aime Indiana... Je ne peux pas vivre dans ce monde sans toi à mes côtés... »
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